Par : Sinethemba Dlamini (journaliste et présentatrice, le diffuseur national, Royaume d’Eswatini)
La conversation sur « L’évolution du contexte de l’engagement du public et de l’éducation à la citoyenneté mondiale » est arrivée à un moment où, comme journaliste, j’essayais de trouver des moyens novateurs de faire mon travail malgré les défis présentés par l’éclosion de la pandémie de COVID-19. La pandémie a entraîné des changements dans notre vie quotidienne, mais cela ne rend pas notre travail moins important pour autant. En tant que personnes oeuvrant dans le développement des communautés, en particulier dans le secteur à but non lucratif, nos publics comptent encore plus sur nous aujourd’hui que par le passé. Ce que je retiens le plus de ma participation à ce webinaire comme animatrice, c’est ceci : en dépit de ce qui se passe dans le monde, et indépendamment du sexe, de la race, du statut social, de l’affiliation, de l’orientation sexuelle et d’autres facteurs sociodémographiques, ce dont les personnes ont le plus besoin, c’est d’être entendu. Je ne saurais trop insister là-dessus. Ça, pour moi, c’était le fil conducteur des présentations faites par toutes les panélistes. Pour faire le travail que nous faisons de manière efficace, nous devons écouter. Nous devons avoir de la compassion et, plus important encore, nous devons comprendre que nos besoins sont aussi divers que les étoiles dans le ciel, et que la bienveillance, l’ouverture d’esprit, l’esprit d’apprentissage et le travail en vue de l’égalité demeurent essentiels.