2022 : Troisième cohorte

Je suis Anelson PIERRE, un étudiant finissant en économie et finance à l’Institut des hautes études commerciales et économiques en Haïti. J’ai 23 ans et je suis stagiaire à la fondation THAMANI pour les jeux traditionnels et les loisirs de demain. Parmi les ODD , l’inégalité est celui qui m’intéresse le plus parce qu’étant né dans un pays pauvre , je vois les dégâts que ça produit. À cause de la mauvaise répartition des ressources, il y a des gens qui souffrent amèrement, qui ne peuvent pas manger, s’habiller, se loger, etc. Et cela produit des inégalités très criantes par rapport à la classe dominante.

Le manque d’institutions fortes dans certains pays pour assurer une égalité entre les hommes et les femmes crée un déséquilibre au sein des sociétés et peut causer la montée des femmes qui sont victimes de violence au sein de la société. J’ai essayé de combattre ces problèmes avec la fondation THAMANI surtout dans la promotion des jeux traditionnels qui éliminent les pratiques inégalitaires puisque l’on peut jouer et apprendre avec son voisin qui n’est pas forcément la même personne sur le plan social, économique, de genre ou d’origine.

Je lutte pour un monde où la justice sociale triomphe.

Je m’appelle Christina McRorie et je vis à Saskatoon. Mes parents sont originaires des Prairies rurales et de l’Asie du Sud-Est. Je termine un diplôme en études internationales avec une mineure en économie et un certificat en durabilité à l’Université de la Saskatchewan. Je travaille comme assistante de recherche pour l’Université, comme assistante de circonscription pour un député provincial et je fais un stage chez Prairie Wild Consulting Co. Les violations des droits de la personne au Myanmar sont une question très importante pour moi. Mes parents étant originaires du Myanmar, la violence politique récente a eu un impact considérable sur ma famille. C’est pourquoi j’ai créé le groupe Solidarity With Myanmar afin de sensibiliser le public, de collecter des fonds et de promouvoir l’action politique pour les citoyens. Je suis particulièrement sensible aux ODD 11 et 12, car je crois fermement au bien-être social et planétaire et à sa mise en œuvre à l’échelle locale et industrielle. Je m’intéresse particulièrement aux économies alternatives, à la conception écologique et à l’action collective, ce qui est important pour moi car les questions environnementales sont fondamentalement des questions de droits de l’homme et se recoupent étroitement avec l’accès économique et le développement équitable. Je crois fermement à la justice transformatrice et au fait de diriger avec amour.

Je suis Esther Olatunji, une Nigériane. Je suis titulaire d’une maîtrise en travail social (bien-être social). Je suis une travailleuse sociale agréée par l’Alberta College of Social Workers (ACSW). Ma passion de voir les jeunes s’épanouir et réaliser leurs rêves et leurs aspirations en dépit des difficultés actuelles m’a poussée à créer une fondation dont les thèmes sont les suivants : Le mentorat, l’innovation, le leadership et l’entrepreneuriat qui existe depuis 2018 et compte plus de 2000 jeunes bénéficiant de ses programmes et projets.

Je crois en l’identité unique des individus et je travaille pour être dans la bonne relation avec nous-mêmes, les autres et cette terre pour nourrir et construire des connexions significatives pour inspirer le changement.

Je suis Eyale Abibata Nadege Dialo et suis née à Brazzaville, Congo. J’ai une formation en secrétaire comptable niveau CAP et suis trésorière dans l’association des femmes pour le développement socio-économique AFDS qui milite pour l’autonomisation et l’indépendance des femmes au Burkina Faso.

Je trouve que la femme Burkinabé a besoin de formation professionnelle pour s’affirmer sur le plan social. Elle n’a pas le droit à la parole car elle est limitée intellectuellement.

Je suis Jean-Samuel Jean et je viens d’Haïti, la première République noire indépendante. J’ai 32 ans et suis infirmier de formation. Je suis diplômé de l’école d’art de Jacmel et depuis 2006 je travaille pour l’amélioration de la vie des gens dans les communautés rurales à travers les organisations communautaires. En 2019 avec l’association des Jeunes Solidaires du Sud’est j’ai lancé le premier Festival des jeux traditionnels Haïtiens​ avec pour thème de base “Et si les jeux traditionnels nous parlent de l’Équité de la Diversité et de l’Inclusion ?” en utilisant les jeux traditionnels comme vecteur pour faire la promotion de l’équité, la diversité et l’inclusion ou l’ODD 5 et surtout la préservation de la culture et de la tradition. Je crois qu’en respectant les droits des gens de manière équitable, il y a une forte chance pour que ce pays arrive à se développer et je crois qu’il n’y a pas de peuple sans tradition.

Je m’appelle Maria Farooq, j’ai 23 ans, je viens du Pakistan et j’étudie les biosciences environnementales dans un climat en évolution à Warwick. Je suis une “Women in STEM Scholar” à l’université de Warwick. En tant que spécialiste de l’environnement, les ODD ont toujours retenu mon attention. Mon domaine d’étude porte sur les objectifs de développement durable, de l’action climatique à la vie sous terre et sur terre, de l’eau propre et de l’assainissement à l’énergie propre et abordable. Le monde a maintenant besoin d’une action rapide.

En tant que spécialiste du climat, je pense que les femmes sont les plus vulnérables au changement climatique. Elles sont les victimes de l’écart entre les sexes en matière de développement durable. Pour créer la main-d’œuvre de demain afin de construire une société résiliente, les femmes ne doivent pas être laissées pour compte. De l’éducation de qualité au bien-être, les femmes ne sont pas appréciées. De l’égalité des sexes à l’action climatique, les femmes sont les plus touchées. Mais elles ne bénéficient pas de privilèges pour améliorer leur situation, en particulier dans les pays du tiers monde.

C’est pourquoi j’aime me consacrer entièrement à la sauvegarde de la planète Terre et travailler avec enthousiasme. J’ai une expérience de travail avec Worldwide Fund. En outre, j’ai participé à la marche pour le climat, au forum de négociation sur le climat de Warwick et à TEDxWarwick. À l’avenir, je suis prêt à apporter ma contribution à la communauté mondiale.

Je crois que nous allons prospérer ensemble. Les jeunes d’aujourd’hui sont l’avenir de demain.

Je m’appelle Michael Tefera. J’ai 23 ans et je suis citoyen éthiopien. Je suis étudiant en quatrième année de médecine à l’université de médecine du Sud située à Guangzhou, en Chine. J’ai été impliqué dans le projet intitulé “a journey back to Sedika” de Winnipeg, chargé de la construction d’écoles pour les jeunes de la région, et je travaille également à temps partiel dans un hôpital situé à Dire dawa, la deuxième plus grande ville de mon pays. Le gaspillage de potentiel est assez malheureux, mais je crois qu’il peut être atténué, c’est pourquoi l’objectif 8 des ODD résonne le plus avec moi, en assurant une éducation de qualité inclusive et équitable et en promouvant des opportunités d’apprentissage tout au long de la vie, les jeunes peuvent mieux comprendre et utiliser leur potentiel inné pour changer leurs vies et leurs communautés.

Je m’appelle MJ, je suis née et j’ai grandi en Colombie. J’ai déménagé au Canada en 2017 pour étudier au Niagara College. En grandissant, j’ai réalisé à quel point l’environnement était négligé et j’ai voulu faire quelque chose, c’est pourquoi j’ai obtenu un certificat d’études supérieures en gestion et évaluation de l’environnement. Au cours de mes années d’université, je me suis familiarisée avec les ODD et j’en suis complètement tombée amoureuse car ils relient les questions environnementales et sociales. J’ai alors compris que la nature se porte plutôt bien toute seule, mais que nous ne le sommes pas, et que s’en occuper, c’est s’occuper de nous-mêmes ! Les 17 ODD sont tous interconnectés et sont essentiels à la réalisation d’un avenir durable, mais je dirais que l’objectif n° 10 – Réduire les inégalités – est celui qui résonne le plus en moi. Je pense qu’il englobe la plupart des problèmes et des opportunités que les autres objectifs mettent sur la table. L’accessibilité et/ou l’inaccessibilité de la nourriture, de l’eau potable, du logement, de la santé, de l’éducation, du travail et de la justice ont un impact sur la vie des gens et ces questions sont également associées à la crise environnementale à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui dans le monde. Donc, à mon avis, si nous concentrons notre énergie sur la réduction des inégalités, ce qui apporterait l’accessibilité aux gens, cela nous aiderait à atteindre certains aspects des autres objectifs et à devenir plus durables.

Je m’appelle Nainika Paul et je suis étudiante en deuxième année de doctorat à l’université Rutgers, l’université d’État du New Jersey, aux États-Unis, où je me spécialise dans les femmes en politique. Avant Rutgers, j’ai vécu à Washington D.C. et j’ai obtenu une maîtrise en gestion des conflits et en études du Moyen-Orient à Johns Hopkins SAIS. Pendant mon séjour à Washington D.C., j’ai également bénéficié d’une bourse d’études supérieures pour le Département de la Défense, Bureau du Secrétaire à la Défense-Politique, sur le bureau de l’Afghanistan/Pakistan. Au cours de mes études et de mon travail bénévole, j’ai fini par m’identifier et m’impliquer davantage dans l’ODD n°5, l’égalité des sexes. L’année dernière, dans le cadre de mes études de doctorat, je me suis rendue au Canada et j’ai vécu à Vancouver et à Toronto, où j’ai effectué des recherches sur les questions relatives au GTMIL. Pendant mon séjour à Toronto, en plus de mes recherches, je me suis affiliée à Canadian Women for Women in Afghanistan ainsi qu’à COSTI Immigrant Services, soulevant des questions liées aux femmes et aux enfants en Afghanistan et faisant du bénévolat pour réinstaller des réfugiés afghans dans la région du Grand Toronto. Dans mon temps libre, j’aime la photographie sur pellicule à partir de la caméra 70s, les voyages et les spectacles de comédie.

Je suis Oliva Chabi et je m’intéresse au développement international et au développement philanthropique. Je suis titulaire d’une maîtrise en études internationales de l’Université de Montréal, d’un baccalauréat en affaires internationales de l’Université de Limoges et d’un baccalauréat en comptabilité et finance du Centre Africain d’études supérieures en gestion (CESAG) de Dakar. Je travaille actuellement comme conseillère en développement philanthropique pour un organisme de coopération internationale.

J’ai vécu pendant huit ans au Bénin, mon pays d’origine, dix ans au Burkina-Faso, trois au Sénégal et deux ans en France avant de m’établir au Canada. Je suis une afro-optimiste qui s’est impliquée dans plusieurs organismes tout au long de son parcours. J’aime les voyages, la lecture, la peinture, les documentaires et les discussions instructives.
Je rejoins la cohorte des Jeunes Leaders d’Activer le changement afin de continuer à apprendre et d’échanger avec d’autres jeunes.

Je m’appelle Peter Friedrichsen et j’habite à Prince Albert, en Saskatchewan (territoire visé par le Traité no 6, patrie des Métis). Je suis le directeur général de la Prince Albert Model Forest Association (PAMF), une ONG régionale qui se consacre aux partenariats en matière de recherche, d’éducation et de développement communautaire avec les communautés forestières de la Saskatchewan. J’ai grandi en Alberta, où j’ai obtenu un baccalauréat ès arts (avec distinction) en études du développement et un baccalauréat ès arts en économie. J’ai obtenu une maîtrise en environnement et durabilité (MES) à l’Université de la Saskatchewan en 2020, avec un axe de recherche sur la résurgence de l’agriculture et de la production alimentaire des Premières Nations dans le centre de la Saskatchewan. Je veux aider à créer des villes et des communautés plus durables et à soutenir la vie sur terre sous la pression croissante du changement climatique. Pour ce faire, j’ai déjà fait participer les jeunes de la région à la durabilité et à la fierté de leurs communautés en lançant un programme de plantation d’arbres par des jeunes à Prince Albert pour développer la forêt urbaine de la ville. Je suis impatiente de collaborer avec d’autres jeunes champions !

Je suis Sarah Danks, la coordinatrice des communications et de la collecte de fonds de VIDEA. Je vis sur les territoires traditionnels et non cédés des peuples parlant Lekwungen, aussi connu comme Victoria, BC. J’ai un baccalauréat en sciences en psychologie avec une mineure en communication professionnelle de l’Université de Victoria.

Je suis passionnée par les droits de la personne, en particulier par l’éducation des femmes et des filles. Je crois que la connaissance est un outil puissant qui peut mener à la défense de soi et à la capacité de prendre des décisions éclairées. Je suis également une ardente défenseure des droits sexuels et reproductifs des femmes, des filles et des personnes 2SLGBTQ+. J’ai récemment eu l’occasion de travailler en Zambie où j’ai aidé à faciliter une conférence internationale de la jeunesse et j’ai pu apprendre sur le changement climatique, les droits de santé sexuelle et reproductive, et les droits de l’homme avec des étudiants zambiens, des enseignants et le personnel de VIDEA.

L’ODD n°4, l’éducation de qualité, est l’un des objectifs qui me tient particulièrement à cœur. Je pense que l’accès à une éducation correcte est un élément essentiel pour la réalisation de nombreux autres ODD. Avec l’éducation vient la capacité de s’exprimer sur des questions importantes, de se sentir habilité et de pouvoir défendre ses intérêts. Dans le cadre de mon travail, j’aide souvent à partager des connaissances sur des questions mondiales, mais aussi sur des questions qui se posent au Canada et dont même les Canadiens ne sont pas au courant. Lorsque les gens apprennent, cela les incite souvent à agir et ils partagent ensuite ce qu’ils ont appris avec d’autres. J’ai vu à quel point les étudiants étaient enthousiastes à l’idée d’apprendre pendant la conférence en ligne de VIDEA, et à quel point cette participation était importante pour eux. Les enseignants ont commenté comment ils avaient déjà remarqué un changement dans le comportement des élèves et la façon dont ils se comportaient, même après une seule journée de conférence. Et c’est ce que l’éducation peut faire. Elle peut être si simple et avoir un grand impact.

Dans mon temps libre, j’aime lire, jouer au football, photographier et passer du temps avec mon chien.

Je m’appelle Tijan Kuyateh, j’ai 26 ans et je suis un responsable de la jeunesse en Gambie. J’ai plus de 10 ans d’expérience en tant que bénévole et militant pour le développement des jeunes, des femmes et des enfants en Gambie. Par l’intermédiaire d’une ONG canadienne, la NSGA, je continue à donner aux jeunes les moyens d’acquérir des compétences pratiques, une éducation en matière de santé génésique et des conseils en matière de développement professionnel. Je suis également greffier d’un parlement national des jeunes en Gambie, où je représente bénévolement la voix des jeunes dans les questions de développement national. Actuellement, je poursuis un diplôme en santé publique à l’université de Gambie. Je m’engage à mettre fin à la violence fondée sur le genre en Gambie et à accroître la participation, la santé et le bien-être des jeunes.

La violence fondée sur le genre continue de représenter une énorme lacune et constitue un obstacle à l’égalité des sexes dans les communautés locales gambiennes. Cette situation est favorisée par certaines pratiques culturelles qui renforcent ces vices et maintiennent les femmes et les filles dans le silence. Mon travail, en tant que jeune défenseur et bénévole, est principalement axé sur la sensibilisation et la promotion de la participation des femmes aux processus décisionnels, au leadership et à la politique. Mon objectif est d’éliminer les stéréotypes liés au genre en Gambie et je pense que le fait de cibler la jeune génération et de façonner son état d’esprit dans un cadre positif augmentera les chances de réaliser ce que je défends.

En tant que praticienne du développement proactive, championne de l’égalité de genre et de l’action humanitaire, j’espère jeter un pont entre le travail humanitaire local et les initiatives mondiales, “penser globalement, agir localement” étant ma devise. Je suis titulaire d’une licence et d’une maîtrise en religions et cultures mondiales de l’université de Dhaka, au Bangladesh. En tant qu’associée de programme à CARE Bangladesh, j’ai soutenu le programme humanitaire et de résilience pour formuler des propositions de projet, préparer des rapports internes et de donateurs, des supports de communication, superviser les interventions d’urgence et gérer les parties prenantes du réseau/cluster. J’ai également été volontaire dans des organisations de développement internationales (Oxfam au Bangladesh) et nationales (Leaping Boundaries, BD clean, etc.) pour soutenir des programmes d’aide humanitaire, l’éducation des filles et la sensibilisation à l’environnement dans les zones rurales du Bangladesh. Actuellement, je poursuis ma deuxième maîtrise en études du développement international à l’Université Dalhosuie. Mes recherches actuelles portent sur la distribution de l’aide canadienne, l’aide humanitaire et au développement, les relations entre donateurs.

Je suis Utthara Wanigasekara, née en 1993, originaire du Sri Lanka. J’ai obtenu ma licence en relations internationales. Je suis actuellement diplômée du Centennial College et spécialisée dans le développement international. En tant que spécialiste des relations internationales, mes principaux domaines d’étude sont les ODD, la sécurité humaine et la consolidation de la paix. J’ai effectué des recherches dans les domaines susmentionnés. J’ai été ambassadrice culturelle aux États-Unis, où j’ai eu l’occasion de travailler pour de nombreuses organisations bénévoles sur les droits de l’homme, la réconciliation et la consolidation de la paix, ainsi que de travailler avec de hautes administrations.
L’ODD qui m’intéresse est l’ODD n° 4 – Éducation de qualité. La plupart des enfants dans les zones de conflit sont incapables d’accéder à une éducation de qualité. Par exemple, les enfants réfugiés syriens sont devenus une génération oubliée avec un taux d’alphabétisation plus faible en raison du taux élevé de déplacement interne et de l’absence d’un système d’éducation approprié pour eux. Je crois que l’éducation est le fondement du développement humain. J’ai beaucoup travaillé sur l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes et des filles afin d’éliminer la discrimination à l’égard de l’éducation dans leur vie.

Je suis l’animatrice du stage international pour jeunes autochtones de VIDEA. Je suis née en 1997 dans le district de Chasefu, dans la province orientale de la Zambie, et je vis actuellement à Lusaka, la capitale de la Zambie. Je suis la première née d’une famille de six enfants, deux garçons et quatre filles. Je suis titulaire d’un diplôme d’enseignement secondaire en anglais et en art, ainsi que de certificats en pensée critique et résolution de problèmes, en technologies de l’information et de la communication, en entrepreneuriat et en compétences de vie. Je suis un modèle pour ma communauté car je suis la première personne à avoir suivi des études supérieures. Je suis une fervente défenseure des filles, des jeunes et des femmes, notamment en ce qui concerne l’égalité des sexes, les mariages précoces, la violence sexiste, la prévention du suicide, les abus sexuels et les droits de l’homme. Je suis très intéressée à continuer à en apprendre davantage sur les problèmes mondiaux.

En ce qui concerne l’ODD n° 5 – Égalité entre les sexes – le problème qui me préoccupe le plus est la violence sexiste. Souvent, le rôle des femmes à la maison implique la violence. Les femmes ne se voient pas attribuer de terres, elles sont désavantagées par de nombreux facteurs et ont un pouvoir limité. Les femmes souffrent aux mains de leur partenaire. Je travaille avec les femmes locales en organisant des conversations sur ce qu’elles doivent faire si elles se trouvent dans cette situation. Ces conversations sont également source d’autonomie, car elles montrent aux femmes qu’elles méritent mieux et qu’elles peuvent vivre sans violence. À l’avenir, j’aimerais continuer à parler aux femmes et à promouvoir le signalement de la violence sexiste. Je veux donner aux femmes davantage de ressources lorsqu’elles se trouvent dans des situations de violence.

Pour l’ODD n° 4 : une éducation de qualité – Faire participer les jeunes, en particulier les filles, est la question qui me préoccupe le plus. Les filles issues de familles à faibles revenus qui n’ont personne pour payer leur éducation peuvent finir par se marier tôt, ce qui réduit leurs chances d’avoir une éducation de qualité. Dans le passé, avec VIDEA, j’ai organisé des conférences pour les jeunes à travers la Zambie et l’Ouganda pour avoir des conversations sur l’éducation qui peuvent motiver les jeunes à rester à l’école. À l’avenir, je veux continuer à aller dans les écoles et créer un programme de mentorat pour les jeunes afin de leur montrer l’importance de l’éducation. C’est également important pour moi, car je suis enseignante.

Pour l’ODD n° 4 : une éducation de qualité – Faire participer les jeunes, en particulier les filles, est la question qui me préoccupe le plus. Les filles issues de familles à faibles revenus qui n’ont personne pour payer leur éducation peuvent finir par se marier tôt, ce qui réduit leurs chances d’avoir une éducation de qualité. Dans le passé, avec VIDEA, j’ai organisé des conférences pour les jeunes à travers la Zambie et l’Ouganda pour avoir des conversations sur l’éducation qui peuvent motiver les jeunes à rester à l’école. À l’avenir, je veux continuer à aller dans les écoles et créer un programme de mentorat pour les jeunes afin de leur montrer l’importance de l’éducation. C’est également important pour moi, car je suis enseignante.